Transformations technologiques
Des outils de travail en évolution
Au fil du temps, la Caisse populaire de Longueuil a su adopter les outils de travail les plus appropriés pour réaliser les diverses tâches qui lui incombaient. Maurice Brault fit l’acquisition d’une machine à écrire Underwood du Collège de Longueuil. Durant la première décennie, la Caisse a installé un petit comptoir dont la fabrication a coûté 35 $, qui sera remplacé en 1949 par les comptoirs de la Banque de Montréal, acquis pour la somme de 110 $.
En 1951, un système de cartes a été installé pour améliorer le service de la caisse. En 1952, la caisse fait l’acquisition d’une machine à additionner électrique. On décide d’acquérir un coffre-fort, la chambre forte du presbytère étant moins sécuritaire car elle restait constamment ouverte. En 1954, on acquiert un Chest additionnel placé à l’intérieur de la voûte ainsi qu’une machine à photographier les chèques.
En 1959, la Caisse achète une machine à comptabilité de type Sensimatic, série 200 de la compagnie Burroughs, au prix de 3 548 $. Elle acquiert aussi de l’Union régionale de Saint-Hyacinthe une machine à photographier les chèques, au prix de 400 $.
En 1965, la Caisse populaire de Longueuil fait l’acquisition d’une machine électronique. Il a fallu changer le système de cartes pour l’adapter à la nouvelle machine, qui calcule les intérêts sur les prêts et sur l’épargne ainsi que les frais d’administration et enregistre le tout sur les cartes individuelles.

L’arrivée des nouvelles technologies
Dès 1976, l’informatisation du système permet de mettre en place le service d’inter-Caisses, qui donne la possibilité aux membres d’avoir accès à leur compte à partir de n’importe quelle Caisse populaire reliée au système de télétraitement. Au cours de la décennie suivante, les services automatisés font leur apparition à travers l’ensemble du réseau des caisses populaires Desjardins. C’est le 1er octobre 1982 que les deux premiers guichets automatiques de la Caisse populaire de Longueuil sont installés; un au siège social et un autre à la succursale du métro Longueuil. À la fin de l’année 1987, le siège social de la Caisse et la succursale possèdent chacun deux guichets automatiques et deux imprimantes libre-service. Ceux-ci viennent grandement faciliter l’accès à plusieurs services offerts par la Caisse, puisque les membres peuvent maintenant avoir accès à leur compte vingt-quatre heures par jour et sept jours par semaine.

Progressivement, durant les années suivantes, les membres intègrent de plus en plus l’utilisation des services automatisés à leurs habitudes, si bien que dès 1993, les divers guichets de la Caisse populaire de Longueuil enregistrent plus de 60 000 transactions mensuelles.
Guichets de la succursale du métro de Longueuil

Affiche des Services automatisés
Internet, la transformation des services et du travail des employés
C’est en septembre 1996 que la première version du site desjardins.com est mise en ligne. Dorénavant, il devient possible pour les membres d’obtenir une foule d’informations sur divers produits et services sans avoir à se déplacer. Ensuite, à partir de décembre 1996, le service de transactions AccesD permet aux usagers d’effectuer des transactions courantes en ligne ou par téléphone. Puis, en 2010, Desjardins lance sa plateforme mobile qui donne accès à ces mêmes services, sur tablette ou sur téléphone intelligent.
Il va sans dire que ces transformations ont eu des répercussions considérables pour les employés de la Caisse. Ceci est particulièrement le cas pour les caissières et caissiers qui ont vu leur travail se transformer, passant du service transactionnel au service-conseil. Les employés ont pu profiter de l’appui de la Caisse du Vieux-Longueuil pour faire cette transition. Ainsi, depuis le début des années 1990, la Caisse a consacré des sommes importantes pour permettre aux employés de suivre divers programmes de formation et d’être mieux outillés pour faire face à l’ensemble de ces défis.
Autres faits marquants
3 décembre 1950
1951
En 1951, un système de cartes a été installé pour améliorer le service de la caisse.
1952
1952
1954
En 1954, on acquiert un coffre additionnel placé à l’intérieur de la voûte ainsi qu’une machine à photographier les chèques.
15 mars 1959
La première machine comptable fait son apparition à la caisse (au prix de 3 548$) et la Caisse acquiert aussi de l’Union régionale de Saint-Hyacinthe une machine à photographier les chèques, au coût de 400$.